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 Hôtel Sūkōna - Vol du tableau « La voie lactée » !

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Toshio Yôichi

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MessageSujet: Hôtel Sūkōna - Vol du tableau « La voie lactée » !   Hôtel Sūkōna - Vol du tableau « La voie lactée » ! EmptyMer 18 Déc - 11:08

C'était le jour de mon arrivé dans le pensionnat Hikari … Je n'étais pas du tout dans la mentalité de l'élève enjouée à l'idée de faire de nouvelles rencontres. Désolé, mais ce pensionnat ou un autre, cela m'était complètement égal. Marchant d'un pas assez lent tout en  contemplant cette ville de Tokyo, qui était vraiment pittoresque … Après quelques dizaines de minutes, j'arrivai à destination, le musée de la capitale du Japon. C'était là que prenait place le merveilleux tableau de mon père, Satô, « La voie lactée ». Ce talent … Celui de mon père, j'allais le voler, mais pour une bonne cause, pas pour le plaisir de revendre la marchandise pour me faire de l'argent. Je me hâtais pour revoir cette merveilleuse œuvre d'art, et j’eus une très mauvaise surprise. Entrant assez brusquement, bousculant la foule, j'entendais des paroles qui me déplaisait fortement.

« Hé ! Hé ! Le garde, où est le tableau « La Voie Lactée » de Satô? »
« Mon cher monsieur, je suis navré de vous apprendre qu'il a été racheté par l'humble Mr. Satikan, propriétaire de l'hôtel cinq étoiles à la sortie ouest de la ville. »

    Ce passant m'avait involontairement donné la réponse à ma question … Au diable le jour facultatif de présentation, il était de mon devoir de retrouver le tableau de mon père ! Rentrant chez Mr. Chaman qui m’hébergeais clandestinement, je vus sur le réfrigérateur une feuille suspendu par un aiment. C'était bien son écriture, l'écriture du majordome. Sur ce papier, il y avait une multitude d'information sur l'acheteur du tableau de Satô … Les nouvelles vont vites avec Mr. Chaman ! J'avais une adresse, numéro de carte bancaire, cassier judiciaire et beaucoup d'autres informations, souvent inutiles comme sa passion, la chasse. Après une heure de préparation, le soir commençait à tomber. Le clocher sonnait pour vingt heures. Il était temps. Sortant avec la voiture du majordome, je pris la route principale, la plus longue, pour brouiller les pistes. Après une demi heure de route, je me garais à dix minutes de l'hôtel. Mr. Chaman m'avait donné un lieu de rendez vous, devant le luxueux hôtel Sūkōna. J'avais de toute façon, envoyé la carte que j'envoie avant chaque vol à cette hôtel, comme me l'avait dit Mr. Chaman.

« Aaah … Toshio. Voici une invitation à une vente aux enchères illégales qui a lieu au sous sol de l'hôtel. Tiens ce morceau de chiffon, ouvre le quand tu seras dans l’ascenseur. Il faudra taper ses chiffres pour y avoir accès. »
« Aucun problème … Je m'occupe de tout, ne vous en faites pas ! »

    Je passais le seuil de ce lieu somptueux. Il fallait vraiment avoir les moyens pour y résider, même temporairement car les tarifs à la nuit étaient exorbitants : plus de deux cent cinquante euros pour une nuit ! Enfin, je comprends, tant de perfection dans un ci bel endroit, c'est bel rare. Je rentrais dans les vestiaires, pour enfiler le costume que Mr. Chaman m'avait donné. Il était vraiment beau, d'un blanc immaculé, sans aucun mauvais pli, même si il m'allait un peu grand. En direction de l’ascenseur, je fis semblant de ne pas remarquer les vigiles qui étaient très suspects, sûrement des hommes de main de Mr. Satikan, qui d'après le majordome était connu des services de police pour trafic de drogue et vente illégale d'arme, pas le genre de personnage qui inspire la sagesse et l'intelligence entre autres. J'avais un sourire nias, et en entrant dans l'ascenseur, un de ses colosses voulu entrer avec moi. Pitoyable. Quand l'ascenseur se referma, je mis un masque à gaz et lui dit un simple « Bonne nuit ! » avant de lancer le gaz soporifique, qui était sans vous mentir, une de mes façon d'agir préféré. Il tomba comme une mouche, et avant de partir au sous sol, je l'emmenais au septième étage qui était en réparation d'après Mr. Chaman. Je pris ses vêtements, sa carte de service, son talkie-walkie et le ligota à une poudre métallique, dans une pièce close et isolé. Mettant ses lunettes de soleil, je repris cette ascenseur, sachant que l'effet du gaz soporifique s'était estompé. Je tapais rapidement les numéros suivants : 2, 1, 0, 5, 1, 9, 4, 0. D'après le majordome, c'était la date de naissance d'un proche à Mr. Satikan, ou d'un peintre. A vrai dire, cela m'était égal du moment que je pouvais voler le tableau dans les règles de l'art.  La porte s'ouvrit enfin, laissant place à une sorte d'amphithéâtre … J'entrais, et me retrouvais à une centaine de mètre du tableau tant convoité … J'avais un plan d'action qui me permettrait d'avoir le tableau sans difficulté et sans encombre. Mais comme on dit, jamais rien ne se déroule comme prévu …
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Rima Hishiwa

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MessageSujet: Re: Hôtel Sūkōna - Vol du tableau « La voie lactée » !   Hôtel Sūkōna - Vol du tableau « La voie lactée » ! EmptyMar 24 Déc - 16:05

Une nouvelle année qui s'annonce. Mais cette fois-ci, elle se passera dans le célèbre pensionnat Hikari, comme le souhaitait mon père. Arrivant à l'accueil, je reçus une énorme liasse de papiers que je devrais remplir dans la classe une fois avec mon professeur principal.. L'organisation de ce pensionnat ne changeait pas vraiment des autres établissements que j'avais pu fréquenter. Franchement, je ne trouvais rien de particulier à cette institution. Pourquoi diable mon père avait-il insisté pour que je poursuive ma scolarité ici ?
Enfin... J'abandonnais cette question dont je n'aurai jamais la réponse. Je trouvais ma salle après, bien sûr, m'être perdue dans tous ces bâtiments. Je toquais à la porte, essoufflée et embarrassée d'être arrivée en retard dès le premier jour.

-Je suis vraiment désolée pour mon retard. J'espère que vous m'en excuserez...

Mon professeur principal me laissa entrer, ne tenant pas rigueur de ma faute grâce à l'éternelle excuse ''Ce n'est que le premier jour... Ça ira pour cette fois, mais que cela ne se reproduise plus.'' Reconnaissante je m'asseyais au fond de la classe, près de la fenêtre sans un bruit, sous les regards de mes nouveaux camarades. Une année qui commençait bien... Le professeur reprit son speech, coupé par mon interruption. Il nous distribua une autre tonne de papelards, histoire de bien nous embrouiller.
Pour vous conter la fin de ma journée, ma classe et moi fîmes la connaissance de tous nos enseignants et enseignantes. Et comme toujours, nous avons eu droit au questionnaire ''âge, nom, prénom, sport, futur métier, situation familiale''. Autant vous dire que cette journée ne fut pas la meilleure du monde... Mais c'était la première de l'année. Il y a toujours un temps d'adaptation comme on dit.. Et puis, j'ai appris qu'il ne fallait pas ce fier aux apparences ni à la première impression.
La sonnerie signifiant la fin des cours retentit dans tout le bâtiment. Un soupir de soulagement s'échappa d'entre mes lèvres. C'était pas trop tôt !
Je fourrais l'ensemble des papiers collectés au cours de la journée dans le deuxième compartiment dans mon sac, et regagnais ma chambre... La chambre 7, si j'en croyais le plan que l'on m'avait donné.
Après 10 minutes d'errance, je trouvais ENFIN mon habitation. Deux lits, deux bureaux, deux armoires et... Pleins de cartons de vêtements, de jeux vidéos, de livres -et tout un tas d'autres trucs- trônaient en plein milieu de la pièce. Et autant vous dire tout de suite, il n'y avait pas que de mes cartons dans tout ce fouillis.

*Mmh... Ah ce que je vois, j'vais pas être toute seule ici...*

Je serais bien restée ici à attendre mon/ma nouveau/nouvelle camarade de chambre, hélas, l'heure défilait vite et le réveil sur le bureau affichait 19h15. Il me restait 15 minutes pour me préparer, étant donné que le trajet durait une bonne demi-heure.
Gardant un œil sur l'heure, je m'habillais avec hâte. Le pantalon treillis de mon père, un débardeur et une veste noire. Pour un cambriolage valait mieux être discret. Je m'attachais les cheveux en un chignon haut, attrapais mon sac et partis en courant du pensionnat.
19H45. Fidèle à mes habitudes, une fois de plus, j'étais en retard. Je courais à toute allure, zigzaguant entre les passants et les voitures, cherchant le chemin le plus rapide pour me rendre à l'hôtel... A l'hôtel quoi déjà ? Ah oui. Le prestigieux Hôtel Sūkōna.
Pour la deuxième fois de la journée, j'arrivais essoufflée à l'arrière du bâtiment. Et comme l'indiquait mon plan, juste au-dessus de moi se trouvait.. Une grille. Oui, je sais. Passer par les grilles d'aérations n'étaient pas le moyen le plus original pour un vol, mais ça restait encore et toujours le moyen le plus sûr.

Ni une ni deux, je dévissais la grille et me hissais jusqu'à celle-ci. Je planquais mon sac dans une ondulation de la paroi et sortais le plan de l'hôtel.
Pfouarf... Trop compliqué. Je rangeais mon schéma dans la poche arrière de mon treillis, et, à quatre pattes, suivais le tuyau jusqu'à... Jusqu'à une salle qui me semblait vraiment bien animée. Une vente aux enchères. Intéressant. Je n'avais pas prévu cela, mais ce n'était qu'un point en plus pour moi !
Tous les gardes devaient être concentrés dans la salle de vente. Dix vigiles, tout au plus, devaient surveiller les couloirs du bâtiment. PAR-FAIT !
Vérifiant que personne ne traînait dans le couloir, j'ôtai la grille, et sautais du conduit. Je me réceptionnais sur les pieds, tout en tâchant d'être discrète. Personne à droite, personne à gauche ? Je piquais un sprint, divaguant dans les différents couloirs du bâtiment. Où aller ? Aucune idée. Je courais, sans aucun bruit. De la lumière émanant d'une salle ? Peut être était-ce la pièce où se trouvaient les plus fabuleux des tableaux ?
Des étoiles pleins les yeux, j'entrais dans la salle, absolument absorbée par le butin que je pourrais amasser. J'entrais dans la salle, joyeuse comme pas possible avant de revenir sur terre et de me rendre compte que cette pièce était... La pièce des caméras de surveillance. Et comme vous pouvez vous en douter, il n'y avait pas que des écrans dans cette fameuse salle. Devant ces écrans, il y avait une bonne dizaine de gardes.

-Heu... Bonjour ?! Ahah... Ahahahah...!

Rire nerveux.

*Ah mais quelle conne je fais !*

Je repris ma course de plus belle. Mais cette fois-ci, avec à peu près 5 gardes à mes trousses. Je tournais et virais à chaque intersection qui se présentait à moi pour semer les vigiles. Je n'avais aucune foutue idée d'où se trouvait le tableau que je voulais ni aucune idée de ma direction Ma dernière chance : Mon plan. De forma A4, il prenait tout mon champ de vision.
Par conséquent, je ne pus voir le jeune homme en costard blanc qui se dressait devant moi. Je m'écrasais donc le nez contre ce qui me semblait être son épaule. La force et la vitesse du choc fit basculer l'inconnu en arrière, qui me servi de matelas pour amortir ma chute.
Je me redressais, mais bien lentement, histoire de graver le visage de l'anonyme si jamais il me balançait aux cerbères. J'aurais pu le tuer ou bien l'assommer pour garantir ma sécurité, mais, heureusement pour lui, le temps pressait. Je balayais la pièce du regard, histoire de repérer une éventuelle sortie, et un éventuel butin.
Une aubaine pour moi. Par chance se trouvait juste au-dessus de moi une porte de sortie. Et sur le mur en face de moi deux magnifiques œuvres -dont la Voie Lactée du célèbre M.Satô- que je pourrais revendre facilement, et surtout très cher. Je me tâtais et pris la plus petite des deux toiles, la plus pratique pour moi à embarquer.
Les pas des gardes se faisaient entendre. Ça n'était pas bon signe. Je décrochais la peinture du mur et lançais à l'anonyme blond :

- Désolée pour la chute. Et je prends ça, en passant. J'espère pour toi que tu ne comptes pas me dénoncer. Si c'est le cas, je te retrouverais et te ferais morfler. Compris ?

Sur ce flot de paroles mordantes, je me mis sur la pointe des pieds -merci ma petite taille- et décrochais l'obstacle qui me séparait de la sortie. Je balançais le tableau dans le tuyau, puis pris mon élan et à mon tour, montais dans le conduit. Je sortais avec empressement de ce bâtiment -récupérant bien sûr mon sac- priant pour que les gardes ne me poursuivent pas et jurant contre ma malchance et ma maladresse.
HALLELUJA ! J'apercevais EN-FIN le portail du pensionnat. Une fois franchi, je serais à l'abri et personne ne pourrait me soupçonner de quoi que ce soit. Je passais aux dessus des grilles et me précipitais à l'intérieur de l'établissement scolaire. Arrivée dans le hall, je soufflais, repris ma respiration. Et me mis à rire. On ne pouvait pas dire que cette soirée avait été de tout repos. Pour une première journée, j'avais fait fort. Ma crise de rire passée, je montais lentement et doucement les marches, en espérant que les pions ne me remarquent pas. Parce que se faire prendre dès le premier jour alors qu'on dépasse le couvre-feu, en plus d'avoir un tableau dérobé sur soit, ça n'était pas très... Intelligent.

J'arrivais sans encombre à ma chambre. J'ouvrais la porte, lâchais mon sac par terre et m'écroulais sur le premier lit que je trouvais. Au bout d'un moment, j'eus l'étrange impression que l'on m'observait. Mon/ma camarade de chambre. C'était un détail que j'avais complètement zappé.
Je me redressais et me mis en tailleur sur mon lit. Sans relever la tête, les cheveux devant le visage, je pris la parole.

-Je suis désolée pour l'entrée tardive et assez... Hum... Fracassante. Moi c'est Yukia !

Je m'étirais et relevais la tête. Une surprise m'attendais. Quand je vis mon camarade de chambre, j'eus l'impression de me décomposer. Mais genre littéralement.

-T... TOI ? Qu'est-que tu fous ICI ?
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Toshio Yôichi

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MessageSujet: Re: Hôtel Sūkōna - Vol du tableau « La voie lactée » !   Hôtel Sūkōna - Vol du tableau « La voie lactée » ! EmptySam 28 Déc - 0:06

L'idée brillante de me vêtir de l'uniforme d'un garde était juste très astucieuse. D'ailleurs, Mr. Satikan avait eu la bonne idée de donner à ses gardes un costume blanc, pour passer inaperçu et donc, ne pas alerter les personnes importantes de la soirée. Je marchais droit, foulant le sol recouvert d'un tapis rouge qui était typique des casinos américains, ils s'en seraient inspirés ? La salle était d'une forme assez courante dans les universités, c'était simplement une pièce ronde, un amphithéâtre miniature … Jetant mon regard de tous les côtés, je ne trouvais toujours pas « La Voie Lactée ». J'allais m'impatienter … Je descendais et questionna une personne :

« Gente dame … M'excuseriez vous ? N'auriez vous pas aperçu la merveille de Mr. Satô, je veux bien évidemment parler de « La Voie Lactée ».

Cette femme posa la main sur mon épaule … Elle me fit un sourire assez franc, même si l'âge avait creuser ses rides … Puis sa robe à corset rouge flamboyant laissait à désirer. Pour une femme d'un si noble rang, elle devait avoir du souci à se faire … Mais bon, elle me répondit avec une voix quelque peu tremblante :

« Hoho, quel charmant jeune homme vous faites … Que nenni, mais d'après mon fils, il se situe à l'extrême gauche de cette belle salle. Et sachez que je payerais le prix fort pour l'avoir, hohoho ! »

Alors là, tu peux toujours crever ma veille. Sache que quand je veux un tableau, je l'ai. Enfin, son visage m'était familier, je ne savais plus où je l'avais vu, mais cette femme … Ses cheveux coiffés en formant un chignon strict laissant tombé deux mèches de cheveux … Je la connaissais. Peut être une ami de Mr. Chaman ? Je n'en savais rien, mais bon, je devais me concentrer pour voir le tableau de mon père. Enfin, je vous rassure, si je le vois, les autres ne le verront pas, si vous voyez ce que je veux dire. Il y avait un de ses brouhaha, impossible de se parler sans hausser la voix. Le talkie-walkie du garde était toujours sur ma ceinture, aucun problème. Ha …? Quelqu'un était tombé là bas, les gens n'étaient devenu soul ou quoi ? Soit disant une « crise » d'après son mari d'après ce que je pouvais entendre …  Hein ? Le tableau de Satô … Il était devant moi, devant mes yeux ! C'était le moment opportun. Jusqu'à que t'entendit mon talkie-walkie sonner :

« Ici Yahiko ! Chef des opérations ! Que tous les gardes présent dans la salle de vente aux enchères recherchent une fille ! Elle est habillé banalement, elle fera tâche devant tous ses fils de riches ! Restez sur vos gardes ! Que tous les gardes posté à l'extérieur se concentre sur la sortie au sud de l'hôtel ! »

C'était juste parfait. Enfin … Bon, j'étais aussi dans l'obligation d'aller au combat avec tous ses gardiens de seconde zone. Ouais. Ils iront voir ailleurs si j'y suis. Je me plaçais devant la sublime toile de mon père, bien gardé à la « surveiller ». Par contre, je mis une longue écharpe, pour ne pas me faire remarquer, car les gens étaient, majoritairement costumé, et aussi pour cacher simplement mon visage. J'étais déterminé. Ma seule option ? La victoire. Je pris les lunettes de soleil qu'il avait dans la poche arrière du costume impeccable, aucun mauvais pli. J'entendais, au loin, des cris. Enfin, au loin … J'avais parlé trop vite, une fille me percuta, mes lunettes opaques tombèrent, ainsi que l'écharpe qui se défila … Elle se releva très lentement, elle voulait se faire attraper cette idiote ? Aucun moyen de passer inaperçu, autant dire que je me souviendrais longtemps d'elle. Elle scrutait la pièce, aisaiment comme si de rien ne se passait. Elle stoppait son regard devant la porte de sortie … Tournant brutalement la tête en ma direction, elle me provoqua froidement :

« Désolée pour la chute. Et je prends ça, en passant. J'espère pour toi que tu ne comptes pas me dénoncer. Si c'est le cas, je te retrouverais et te ferais morfler. Compris ? »

Comment sous estimé son adversaire. On ne lui avait jamais appris à cette gamine à être sur ses gardes ? Enfin, pour moi, c'était plutôt un avantage, sans vous le cacher. Je pris mon talkie-walkie, l'allumait, et criait dedans à m'en casser la voix :

« Ici … Heu … Aidez moi ! La fille a volé un tableau ! Elle s'échappe par la sortie de secours ! Vite ! »

Si vous saviez … Cette voleuse du dimanche, elle me facilita tellement la vie que je pourrais en pleurer. Une fois passé cette attroupement de gardien démuni du mot « discrétion », je me relevais brusquement. Heu … La femme de tout à l'heure m'approchait et me demandait d'un air inquiet :

« Jeune homme … Vous allez bien ? Poursuivez cette personne  outrecuidante ! Elle ne mérite pas d'avoir une telle œuvre d'art ... »
« Vous avez peut être raison. Mais … Vous ne méritez pas d'avoir le tableau qui se situe derrière moi, qui est celui de Satô. »
« Hein ? »

Trop tard. Je lançais une boule fumigène qui fut effet instantanément, et maintenant, j'avais la certitude de connaître cette personne … Mais qui était elle ? Une personne du pensionnat Hikari ? La petite copine de Mr. Chaman ? Heu … Non elle était trop disgracieuse pour l'être. Je pris le tableau, lança une carte « Signé Cat's Eyes » sur l'alimentation générale qui se trouvait à ma droite, et parti par la sortie nord … J'avais tout de même gardé le talkie-walkie, il allait mettre utile pour la suite du plan. L'ascenseur était hors circuit, je pris les escaliers, les sautant de quatre en quatre, j'avais de l’impulsion de soir là ! Vous me direz, vu l’adrénaline qui boulonnait en moi … Ce n'était pas très étonnant … Je tournais à droite, à une vitesse assez forte, poussant tous les passants perturbaient du manque de lumière. Je sortais mais un comité d'accueil m'attendait dehors … J'entendis des sirènes, c'était la police ? Si ils voulaient jouer à ça, il allait être servit. J'avais bien fait de le garder, le talkie-walkie. Je le rallumais, et dit :

« Ici Yahiko ! Que toutes unités se dirigent vers la sortie nord ! Nous avons repéré Cat's Eyes, il n'est pas encore trop tard ! Coupez maintenant tous vos appareils, et dépêchez vous, ou vous le payerait ! »

Voilà. J'attendais patiemment que ses idiots arrivent, pour semer la panique. Vu que nous portions tous le même uniforme, je pourrais me fondre dans la masse. C'était un coup de maître, merci à vous Mr. Chaman ! Mais seul … Il m'était difficile de mener mes plans à bien. Bon, je repris mon souffre, j'allais passer au dernière acte. Comment ?! Un coup de feu vint dans ma direction. Certes les idiots qu'étaient ses gardes étaient armés, mais … Ils avaient du être au préalable dans l'interdiction de tirer dans l'enceinte du bâtiment ! Qui avait tirer qui plus est, je ne distinguais pas les personnes, même si mes yeux étaient habitué à une totale obscurité. Je courais en direction de la police, criant au secours. Les gardiens du somptueux hôtel Sūkōna ainsi qu'un troupeau de policier se précipitèrent dans la bâtisse. Je courais pendant ce temps en direction de la voiture loué à un faux nom bien sûr. Tiens ? Les portières étaient ouvertes ? Pas le temps de réfléchir, je démarrais la voiture, et je partis sur la nationale, qui passait au bord du précipice. Si je n'aurais pas eu un entraînement spécial pour la conduite, je ne vous dit pas ce qu'il me serait arrivé, la mort bien évidemment. Je passais la quatrième vitesse, j'étais sur un chemin long et plat. Par contre, je devrais tourné brusquement, vu le virage escarpé …

« Jeune homme. Tu vas mourir. »

Hein ? C'était la voix de la vielle femme de tout à l'heure … Mais, cette voix. C'était celle d'Azumi Saruto, une cambrioleuse qui était soit disant morte ! Elle était experte des armes à feu, mais elle ne pourrait rien faire tant que l'ont été sur ce chemin escarpé. Tss … N'importe quoi. Elle posa avec une délicatesse charmante sur ma tête. Elle s’esclaffait tout en disant ceci :

« Mon petit … Sache que je suis la belle Azumi ! Et que le chef d’œuvre de Satô me revient de droit, à moi et à ma beauté ! Maintenant, écoute moi bien, stoppe la voiture. »
« Tu t'entends sale vielle ? Tu m'as prit pour qui ? Cette fois, aucun artifice, soit tu jettes ton arme par la fenêtre, soit je fonce droit dans le ravin. Parole de Cat's Eyes ! »
« Petit effronté … Et si je tire ? »
« Si tu tires …? Me fait pas rire, tu sais très bien que ça reviendrait au même, tu as perdu Azumi, ou la chatte voleuse ! »

Elle lâcha un petit gémissement de peur … Elle n'avait aucune chance sur ce coup là, par contre, si elle s'y était prit plus tôt, s'en était fini de moi. Elle ouvrit la porte et sauta, elle était folle ?! Quoique … Je m'inquiétais pour rien, dans le milieu des vols, elle était connu pour son agilité légendaire et sa dextérité sans égal. Sauter d'une voiture devait certainement l'ennuyer. Par contre, j'entendis des coups de feu tapait contre la voiture loué … Bonjour les dégâts, enfin je savais pertinemment que Mr. Chaman ne la rendrait pas et que l'ont la garderait pour les autres vols, il fallait y faire attention. Je rigolais, ça m'enlevait tout ce fichu stress que je possédais en moi, j'étais vraiment à bout. Après quelques minutes, je garrais la voiture dans un sous sol prêt du pensionnat Hikari, en faisant bien attention. Je courais et escaladais la façade pour entrer dans ma chambre, parfait ! J'ouvris la fenêtre, et me changea. J'enlevais l'uniforme qui était devenu crasseux pour enfiler un pull qui me servait de pyjama, avec un pantalon de survêtement. Je posais la toile de « La Voie Lactée » sous mon lit, et m'allongea, quand j'entendis des bruits de pas, enfin qui était limite des bruits d'animaux, traverser le couloir. À une heure du matin quoi. Recouvert de ma couverture, je vis la personne entrer, dans la pénombre bien sûr. Elle n'oserait pas allumé la lum … Bah j'ai encore parlé trop vite. Heu … Impossible … C'était l'autre folle de tout à l'heure, la voleuse qui m'avait percuté, je restais bouche bée, tandis qu'elle me disait :

« Je suis désolée pour l'entrée tardive et assez... Hum... Fracassante. Moi c'est Rima ! »

Entrée assez tardive … Oui, il était juste une heure du matin, si j'aurais été n'importe quel autre pensionnaire, je me serais plains croit moi … Puis, comme tu le disais, ton entrée fracassante, elle voulait se faire exclure ou quoi ? Personnellement, rien ne me retenait dans ce pensionnat, mais bon, la volonté de réunir les tableaux peut être …? Elle comprit enfin qui j'étais, et poussa un cri perçant, j'avoue que j'avais le sourire aux lèvres à ce moment :

« -T... TOI ? Qu'est-que tu fous ICI ? »
« Heu … Je serais plutôt du genre à te retourner la question … Et heu … Haha … On ne sait jamais vu là où tu sais hein …? Sur ce, si tu veux bien, haha … On parlera demain, je suis fatigué, et je pense que toi aussi tu as du avoir une soirée mouvementé. Pour le tableau, fait comme moi cache le sous le lit, personne fouillera, mais si le mien disparaît, t'auras de mes nouvelles ... »

J'étais vraiment épuisé … Je m'endormis sur le coup … Quelle sale journée quand même, entre ses gardes, la police et l'autre Azumi alias la chatte voleuse … Sale journée oui. Enfin bon, tout effort est récompensé, la mienne m'allait parfaitement, le tableau « La Voie Lactée » quand même … Je la ramènerais demain à la base. Je m'endormis après avoir passé cette rude journée … Le lendemain, je me réveillais assez tôt, je devais allé m'entraîner à la course. Enfin … Quand je dis assez tôt, au alentour d'onze heures. Cette matinée était banalisé pour une cause inconnu. D'ailleurs, personne ne voulu rien nous dire, et comme d'habitude, je m'en moquais ! J'allais dans la douche pour me changer, imaginez une seconde que l'autre me voit se changer devant elle, la honte. J'enfillais donc mon pantalon de sport ainsi que ma veste et parti en direction du stade. Une belle matinée à l'horizon, un ciel d'un bleu azuré à vous en brûler les yeux tellement il était clair … La brise qui vous fonce droit dessus le matin … Un moment que je n'étais pas prêt d'oublier ! Ma première nuit au pensionnat se déroulait à merveille ! Puis la fille ne s'était pas réveillait je crois. Pour rien vous cacher, je n'avais pas fait attention à elle, je l'avais oublié, j'avais prit la mauvaise habitude de dormir seul … Enfin bon, il fallait que je commence ma course moi !
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MessageSujet: Re: Hôtel Sūkōna - Vol du tableau « La voie lactée » !   Hôtel Sūkōna - Vol du tableau « La voie lactée » ! EmptyDim 29 Déc - 17:04

-Heu ... Je serais plutôt du genre à te retourner la question ... Et heu ... Haha ... On ne sait jamais vu là où tu sais hein ...? Sur ce, si tu veux bien, haha ... On parlera demain, je suis fatigué, et je pense que toi aussi tu as du avoir une soirée mouvementé. Pour le tableau, fait comme moi cache le sous le lit, personne fouillera, mais si le mien disparaît, t'auras de mes nouvelles ...

Comment ça, si je veux bien ? Évidemment que NON, je ne voulais pas. Et de quel droit se permettait-il de me donner des conseils ? J'étais dans le métier depuis bien longtemps, et jamais je n'avais été pincée. Alors ça n'était pas lui qui allait me dicter ce que je devais faire. Il avait eu de la chance d'avoir eu le réflexe d'éteindre la lumière. Et de s'être endormi comme une masse. Légèrement énervée, je me couchais dans mon lit, essayant de ne plus penser à cette petite escapade nocturne. Et cette rencontre des plus horripilante.

*Tant pis, je prendrais ma revanche plus tard.*

Impossible pour moi de dormir. Entre l'autre blondinet dans la chambre et mon envie de meurtre, j'étais dans l'incapacité de fermer l’œil. Foutue soirée. Foutu blond. Foutu pensionnat. Pourquoi diable avait-il fallut que je tombe avec lui, bordel ?!

*RAAAAAAAAAH !*

Je vous avoue que pour le coup, j'aurai bien sorti mon couteau et joué à ''Qui veut du gruyère ?'' avec le bras de mon nouveau camarade de chambre. Enfin... Tant qu'à faire, autant attendre demain matin... Peut-être que d'autres idées de tortures s'illumineraient durant la nuit.

Le lendemain matin, je fus tirée de mon sommeil -si difficile à gagner- encore une fois à cause de l'autre blondinet. Alors comme ça, ce n'était pas un cauchemar. La soirée d'hier c'était réellement passée... Pauvre de moi.
Pourquoi diable se levait-il de si bonne heure, alors qu'aujourd'hui était le seul jour où nous pouvions dormir ? Irrécupérable. Cet enfant était tout simplement irrécupérable.
Je saisis mon oreiller, le plaquais sur mon visage et mes oreilles, tentant en vain de me rendormir. Mais avec le vacarme que l'autre faisait, ça n'était pas possible. Plus discret que lui, on ne faisait pas -ironie du jour bonjour !-. Il sorti enfin de la chambre, me laissant seule dans la pièce. Je virais mes couvertures du lit, et m'étirais de tout mon long.

*Ffff... Bon, tant qu'à faire, autant me lever...*

Je sortais donc de mon lit, m'habillais d'un débardeur blanc et d'un jogging noir avant d'ouvrir la fenêtre et les volets, pour que l'air et le soleil pénètre dans la chambre. J'inspirais un grand coup, observant le paysage qui s'étendait devant mes yeux. J'allais descendre pour manger quand quelque chose, au dehors, attira mon regard. Une silhouette. Que je reconnue tout de suite. Avec ses cheveux dressés sur la tête, ça ne pouvait-être que lui.

*Alors comme ça, on fait son footing de bon matin ?* pensais-je, un petit sourire sarcastique accroché aux lèvres.

Sautant sur l'occasion qui se présentait gentiment à moi, je saisis une paire de socquettes et mes baskets noires, que j'enfilais en moins de deux secondes. Je verrouillais la porte de la chambre, m'emparais de la clé que je plaçais dans ma poche, et sorti par la fenêtre. Tout le monde devait être dans le réfectoire pour le petit-déjeuné (ou encore dans leur lit). Aucun risque que l'on me voit désescalader les parois des dortoirs. Et même si on me voyait, personne ne croirait à cela.
Dès que mes pieds foulèrent le sol, je piquais un sprint pour arriver à la hauteur de l'autre blondasse.

*Ah mais c'est qu'il court vite !*

A quelques mètres derrière lui, je régulais ma vitesse, sans pour autant arrêter d'accélérer. Apparemment, il ne m'avait ni vu, ni entendu. A bout de souffle, je piquais un dernier sprint, histoire de lui passer devant. Puis je fis volte-face et m'arrêtais brusquement en plein dans son passage.

-Salut, tu te souviens de moi j'espère ? Bah oui, quelle question. On est dans la même chambre. M'enfin bref.

Punaise, ce qu'il était grand ! Je n'y avais pas vraiment fait attention auparavant... Ce qui est compréhensible vu les circonstances dans lesquelles nous nous étions rencontrés. Mais ce n'est pas ça qui allait m'intimider. Et ça ne m'empêcherait pas de lui coller une gifle quand l'envie m'en prendrais. D'ailleurs, c'est ce qui arriva.
Je me mis sur la pointe des pieds et lui filais une énorme claque. Libération ! Qu'est-ce que ça pouvait faire du bien d'évacuer sa colère ! J'avais mis tellement de force dans cette gifle que j'en avais les doigts rouges. Je laissais retomber ma main près de mon corps et plantais mon regard dans le sien.

-Ça, c'est pour m'avoir dénoncé hier. Je suis pas dupe. Je sais que tu l'as fait pour te faciliter la tâche. Mais au moins, maintenant, j'ai compris comment tu fonctionnes. Avec toi, c'est chacun pour sa peau.

Je baissais la tête. Un rire nerveux me prit. J'étais réellement déçue de son attitude, bien que je sache que le monde du vol était impitoyable. Je relevais la tête et passais ma main dans ma mèche.

-Bon, et bien maintenant, je ne ferais plus de quartiers. Tu en as ma parole. Sur ce.. A plus blondasse !

Oui, ce que je venais de faire était lâche. Profiter du fait qu'il n'est pas réalisé ce qu'il venait de se passer pour prendre la fuite. C'était une de mes techniques préférées !
Je repris ma course, sans vraiment savoir où j'allais. Je voulais juste gagner un endroit peuplé, histoire que la blonde ne puisse pas me tuer à l'abri des regards. Une idée s'illumina dans ma tête. La club d'art martiaux. Là, j'étais sûre de croiser quelqu'un. De plus, je pourrais m'entraîner... Juste au cas où. Au cas où la blonde aurait une envie soudaine de me tabasser après avoir réalisé que je lui avais donné une baffe.
J'arrivais essoufflée au club d'arts martiaux. J'entrais dans la salle. Des mannequins, des sabres de bois, des nunchakus, des cordes à sauter à sauter, des chevaux d'arçon, des poutres... Et tout un tas d'autres agréments et armes... Et même certains dont je ne soupçonnais même pas l'existence. Aux anges, je sautais sans plus attendre sur une poutre et enchaînais toutes les acrobaties possibles, juste pour voir si je n'étais pas trop rouillée. Roue, rondade, salto avant et arrière...

-Ah bah non ! Finalement, je ne suis pas si rouillée que ça ! Dis-je tout haut, fière de moi.

Hors-Rp : @Staff : On fait ça dès que possible !
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