Arrivée de votre prof chéri Akira Inoue (DC de Zalera)

Inoue Akira

« Rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme.»    
Lavoisier

Ton personnage

Age: 22 ans
spécialité:/
race: Zombie
orientation sexuelle: Hétéro
Situation familiale: Sans famille ou du moins je ne m'en rappelle pas.
ce que tu aime: Les bonbons et en particulier les sucettes (c'est la seule chose de normal
que je peux manger)
ce que tu déteste: Le soleil qui fait que mon corps se décompose plus vite, l'humidité qui use mes coutures.
En bref tout se qui détériore mon corps.

Physique:

Je mesure 1.76m pour 67kg. Mon corps est plutôt svelte.
Ma peau est blanche comme la neige parsemée de points de sutures.
Un véritable patchwork.
La plus grande "couture" part de mon menton jusqu'au-dessus de mon nombril.
Mon corps est très fragile et je dois le protéger de la chaleur et l'humidité qui le ferait pourrir.
Je ne pense pas que mon corps sente trop la décomposition.
Je nettoie régulièrement les plaies.


Mon visage est fin et allongé. Il est marqué par deux cicatrices qui me traverse le visage horizontalement et verticalement sur la partie droite de mon visage et qui se croise au dessus de mon œil formant une croix.
Mes oreilles sont garnies de nombreux piercing.

Mes cheveux sont noirs mais ils tirent un peu sur le gris. Ils ne sont pas très bien coiffés
(mode ébouriffé) et j'ai une petite tresse sur le côté que j'attache avec un petit ruban.

Au niveau de ma tenue vestimentaire je porte le plus souvent un costume blanc rapiécé au niveau des épaules par un tisssu dans les tons de bleu. A mon bras et à ma taille se trouve accrochées par une lanière en cuir, trois petites fioles pour les expériences de chimie. Ma chemise est grise et je la laisse ouverte presque entièrement.
Je porte également un serre-taille à damiers gris avec un laçage devant. Je ne le porte pas pour me donner un air effémine mais pour maintenir mes organes en place.
Je porte toujours une paire de gants noirs en cuir pour protéger mes mains toute rafistolées par de nombreuses coutures et pour éviter de perdre des bouts de doigts.


Mental:

Je suis quelqu'un de calme et patient.
Il en faudra vraiment beaucoup pour que mes futurs élèves m'énerve.
Je met parfois beaucoup de temps pour réfléchir. Je suis quand même un zombie après tout.
..............................................

?!? Un quoi qu'est ce que je disais.
Désolé, cerveau de mort-vivant.
J'apprécie que l'on vienne se confier à moi car j'aime pouvoir aider les gens.
J'ai un petit côté protecteur.
J'espère pouvoir être un bon prof et coté de la manière la plus juste possible.
Mais je préviens déjà gare aux tricheurs et ceux qui déciderait de faire l'école buissonnière pour mon cou.

Voilà je pense que c'est tout ce que je peux dire sur moi.
Le reste je vous laisserais le soin de le découvrir en ma compagnie.

 

Alors mon histoire commence...eeuuuuuhhh... désolé beug.

Mes souvenirs ne remonte pas plus loin de deux semaines.
J'ignore totalement comment je suis mort et comment je suis devenu un zombie.
Lorsque j'ai "repris connaissance", j'étais assis appuyé sur une benne à ordure seul sous la
pluie dans une ruelle un peu sinistre. Je portais un costume blanc qui était fort déchiré au niveau des épaules et je n'avais pas de chaussures. Mon corps et mon visage était lacéré de toute part et mes organes internes sortaient de mon ventre par une plaie béante qui suppurait une énorme quantité de pus. Je me sentait dans le brouillard total et malgré mon état catastrophique, je ne ressentais pas la moindre douleur ni le froid malgré la pluie.

Je n'avait pas le moindre souvenir et ne savait pas du tout qui j'était ni se que faisait là.
Étais-je mort? Vu mon état probablement. Mais pourquoi étais-je toujours dans le monde des vivants?

Et maintenant que faire et où aller?
Je n'avait nul part où me réfugier et mon corps ne répondait pas. Celui-ci semblait comme paralysé.
C'était probablement du à la rigidité cadavérique.
Je n'arrivais pas non plus à prononcer le moindre mot.
Mes cordes vocales ne devaient pas être en état de fonctionnement
Je ne devais certainement pas être mort depuis fort longtemps. Ma mort devait remontera une demi-heure voir deux jours maximums.
Je su seulement lever la tête vers le ciel. La nuit était tombée et le ciel était
resplendissant parsemé de milliers d'étoiles.
Je ne sus combien de temps j'attendit de la sorte. La nuance du temps m'ayant totalement échappé.

J'entendit soudain un cri d'effrois et un objet tombé à terre. Probablement un passant effrayé qui paissais et laissa tombé son parapluie sous le choc de découvrir un cadavre. Puis, une voix féminine qui me sembla se rapprochée rapidement de moi.
Je me décida alors à ouvrir les yeux et là, vit le visage resplendissant d'une jeune fille.

Elle avait de longs cheveux blonds qui avaient ondulés à cause de la pluie. Elle portait un
chemisier blanc et une jupe tailleur noire sous un long manteau rouge. Apparemment, elle devait travailler dans un restaurant et venait de finir sa dur journée de travaille.


- Monsieur, monsieur, vous allez bien?

Non mais comme si je pouvais allez bien avec les boyaux qui pendent.

- Est-ce qu'il faut appeler une ambulance? A mon dieu qu'est ce que je dois faire?
Euh écouté je suis en deuxième année de médecine, j'habite une rue plus loin a a peine deux metres d'ici. Je vais vous aidé et vous fournir les premiers soins.

Ainsi elle était étudiante en médecine et elle devait probablement travailler le soir pour payer ses études. C'était courageux de sa part.

- Est-ce que vous savez un peu marcher?

Je n'en avait pas la moindre idée.

Elle s'agitait dans tous les sens ne sachant pas quoi faire. C'était certes une jolie fille mais un peu bizarre quand même. Ah sa place j'aurais songé à appeler la police ou  une ambulance voir la morgue. Au lieu de ça, elle tournait dans tout les sens en se parlant à voix haute de ce qu'elle devait faire de moi.


Elle cessa soudain de gesticuler en tout sens et passa alors un bras sous moi afin de m'aider à me lever puis avec une grimace pris son autre main pour soutenir mes organes.

La rigidité cadavérique était partie sans que je ne m'en rendes compte ( ma mort remontait donc à un peu plus de temps que ce que j'avais imaginé. Probablement entre deux à quatre jours).

Je su m'appuyé sur la jeune fille et me mettre debout.
Puis nous nous mimes en route vers chez elle.
Ce fut laborieux. Nous avancions a une allure d'escargot ou plutôt de zombies.
Mes mouvements étaient maladroits et je trébuchais souvent. La pauvre avait du mal à soutenir mon poids et tenir mes viscères en places semblaient éprouvant.

Après une bonne grosse demi-heure pour faire 30 mètres a tout cassé nous arrivions enfin devant chez elle. Elle me mis contre le mur afin de pouvoir ouvrir la porte puis vain à nouveau me soutenir et me fis rentrer.
Elle m'aida ensuite à me coucher sur un canapé dans ce qui semblait être son salon. elle
disparut tout de suite après en me disant en vitesse qu'elle revenait tout de suite mais
qu'elle allait chercher de quoi me soigner.

Je me demanda alors si elle vivait seule ici.
Subvenait-elle entièrement seul à ses besoins?

Je tourna la tête un peu de tout les cotés afin de regarder la pièces dans laquelle j'étais.
Les murs étaient couleur crème et le sol était du parquet clair. La pièce était assez petite.
Il n'y avait que deux canapés, un de trois places sur lequel j'étais couché et un autre d'une
place. Les canapés étaient noirs en tissus. Ils étaient fort confortable. Il y avait également
une petite table basse sur laquelle était posé plein de magasines sur l'anatomie et tout plein
de sujets de médecine. En face de moi se trouvait une petite télévision.

J'entendis le parquet craqué. Je tourna la tête dans la direction et vit un adorable petit chat gris tigré avec le ventre tout blanc.
Il sauta sur mon ventre et commença à papouiller mes intestins.
Ah non ne touche pas à ça. c'est à moi.
J'essaya de le chasser en le poussant avec mes mains mais en vain.

Ouf je l'entendis enfin revenir, elle semblait bien chargée. Je la vit alors
réapparaître un énorme sac dans les bras.

- Ah nooon!!! Oni descend tout de suite du monsieur!!!

Elle envoya valdinguer le tas de revues à terre avec son pied et posa son sac en vitesse.
Puis se jeta sur son petit chat pour le prendre dans ses bras et le fit sortir du salon et ferma la porte derrière lui.

- Désolée, c'est mon chat Oni. Il est mignon mais il fait souvent des petites betises.
Ah Ah... Je m'égare.

Elle se mit alors à farfouiller dans son sac et en sortit divers instruments.
Je suis vraiment désolée d'avoir traînée mais vous avez de nombreuses blessures et elles
semblent fort infectées.
Je vais devoir vous déshabiller afin de désinfecter.
Elle se mit alors à retirer ma veste et ma chemise et enfin mon pantalon.
Elle rougit comme une pivoine. c'était très mignon.
Elle retira ensuite mes gants. Ma main droite manqua presque de se décrocher.

- Je... je v.vous laisse votr..votre ca...caleçon...
At..Attention ça va un p..peu piquer

Puis elle commença à appliquer l'alcool.

Avoir mal ne me faisais pas peur car je ne ressentais plus rien mais la pauvre du vite aller
chercher un seau car la quantité de pus qui sortit des blessures se révéla fort
importante.

Après avoir bien tout désinfecté, elle prit une aiguille et du fil pour refermer.
Elle commença par mon visage. Je senti l'aiguille me chatouiller un peu sous la peau.
Les points traversaient mon visage de part en part et formaient une croix au-dessus de mon œil droit.
Puis, elle se mit à recoudre mes mains, mes bras et mes jambes.

Vint alors la partie la plus compliquée: les boyaux.
Elle sortit un grand livre d'anatomie de son sac et l'ouvrit à une page où était illustré la moitié inférieur d'un écorché.
Elle regarda attentivement comment était placé les organes puis remit les miens de la
façon la plus précise possible en les fixant dans mon corps à l'aide de nombreux points de
sutures.
Ce fut un fameux puzzle et la pauvre semblait fatiguée par moment. Au bout de deux-trois heures de remise en place de mon système digestif, elle commença à refermer. De mon menton jusqu'au dessus de mon nombril.

Une fois la tâche ardue terminée, elle retourna fouiller dans son sac et en sortit un étrange produit un spray.

Du déodorant?!? Étrange me dis-je.

- C'est du pansement en spray et il sert également d'antiseptique. Je vais passer sur toute tes sutures. Ça sera plus simple que de devoir te recouvrir entièrement de compresse stérilisées. En plus c'est waterproof!dit-elle avec un sourire.

Elle s'appliqua alors à bien asperger toute mes coutures puis fit un soupire de soulagement.

- Je crois bien que tout est fait maintenant.

Elle regarda sa montre et fut une tête déconfite.

- Il est déjà plus de 2h du matin et demain j'ai cours. Rhha je vais m'endormir aux cours.
Vos vêtements son tout déchirés et tachés de sang et comme je n'ai pas de vêtements qui vous iraient, je propose que vous alliez vous lavez pendant que moi je remettrais vos vêtements en état.
Qu'en dites-vous?

Je hochas la tête en signe d’approbation puis me redressa pour lui montrer que je savais à nouveau bouger.
Elle m'accompagna alors jusqu'à sa salle de bain. C'était une salle de bain traditionnelle japonaise. Sans doute par soucis d'économies.

- Voilà je vous laisse le temps pour vous laver. Faites attention de ne pas trop frotter aux niveaux des points de sutures pour ne pas les défaires.
Ça ira?

J'acquiesça.
Puis elle sortit et referma la porte derrière elle.

Eh bien, que d’événements en si peu de temps.
J'inspecta un peu mon corps qui ressemblait à un vieux draps blanc usé et recousus de toute part.
Je me fis alors coulé un bain. J'ignorais si l'eau était chaude ou froide car je ne le sentait
pas. Je me laissa glisser dans la baignoire. Des petites bulles d'air sortaient entre les
points de sutures. Je m'assoupis dans mon bain et fut réveiller quelque instants plus tard par la jeune fille qui vint toquer a la porte.

- Voilà, j'ai terminée de rafistoler vos vêtements. J'ai fais du mieux que ce que je pouvais avec ce que j'avais. Je vous les déposes.
Ah oui et quand vous serez habillé, retrouvez-moi dans le salon.

Elle entrouvris légèrement la porte et déposa mon costume à terre bien replier puis referma.

Je sortis du bain, pris la serviette et me sécha puis alla m'habiller.
Je me contempla ensuite dans le miroir.
Les coutures étaient un peu grossières mais semblaient solides.
Mon blazer avait été raccommodé avec un tissus dans les tons de bleu.
Cela lui donnait un peu style sympa assortis avec mon corps.

Je vis qu'elle avait également réussis à me trouver des chaussures de ville noires.
Elle étaient pile à ma pointure.

Je me dirigeas ensuite dans le salon et la trouva assise dans le fauteuil à lire ses cours.
Elle eue un petit sursaut de surprise en me voyant se leva puis prit quelque chose à côté d'elle qu'elle cacha dans son dos. Puis elle afficha un large sourire.

- J'ai trouvé quelque chose qui irait parfaitement pour aider à maintenir vos organes en place. Alors fermez les yeux et mettez vos bras vers le haut.

Mais qu'est-ce qu'elle avait bien pu trouvée comme idée.
J’espérais au moins qu'elle n'allait pas me travestir en m'enfilant un corset.

Je l'entendis monter sur la table pour pouvoir m'enfiler un vêtement.
Après 5 minutes d’enfilage et serrage, elle redescendit de la table et me dis d'ouvrir les yeux.
Je n'étais pas loin, ce n'était pas un corset mais un serre-taille à damiers gris avec un laçage sur le devant.
Il me plaisait bien et ne m'efféminais pas contrairement à mes craintes.

Je la vit se tortiller l'air gênée et ne cessait de tourner ses doigts l'air anxieuse.

- T.. Tu dois me trouver un peu bizarre. Je t'ai emmenée ici chez moi au lieu d'appeler la police ou de t'emmener à l'hôpital. Mais j'ai directement vu à l'état avancé de décomposition de ton corps qu'il était impossible qu'un être humain ne soit encore envie. C'est pourquoi, j'ai décidée de t'amener ici chez moi.

"Même si il est vrai je l'avoue que pendant un bref instant j'ai songé au retour de Jack l'éventreur en voyant ton corps inanimé et éventré.  
Je me suis donc dis que tu devais être une sorte de mort-vivant style zombie comme dans les films. Sauf qu’apparemment tu ne veux pas manger à tout prix le cerveaux des autres...."

- Ce qui est une chance pour moi...
H.ha ha.....
Elle fit une petite pause gênée puis reprit:

Tu m'a semblé si triste. Je ne pouvais pas t'emmener à l'hôpital où l'on se rendrait compte que tu n'étais, enfin n'es plus vraiment vivant. J'ai eue trop peur que l'on ne t'utilise comme sujet d'expérience.
Voilà c'est pour ça que j'ai agit de la sorte.

Elle me fit un petit sourire timide.

- Ah et moi c'est Noa.
Et toi comment tu t'appelle comment?

Je haussa les épaules. Je n'en avait pas le moindre souvenir.

Elle sembla alors réfléchir et regarda les livres sur son étagère.
Ses yeux se posèrent sur un manga s'intitulant "Mais je ne suis pas un ange".

-Je sais.dit-elle joyeuseAkira. C'est très joli comme prénom Akira. Ça te conviens?

Je fus émus et réuçis à lui murmurer:

-O..oui mer..merci.

Ce fut le début de deux magnifique semaines passées en sa compagnie.
Je crois bien qu'on eue le coup de foudre l'un pour l'autre en même temps.
Je restais toute la journée dans sa petite maison dont elle avait héritée à l'âge de 15 ans après le décès de ses parents dans un accident de voiture, pendant qu'elle allait suivre ses cours puis enchaînait sur son travail au restaurant. Nous passions beaucoup de temps à parler et à rire. Elle s'occupait régulièrement de mes blessures, me faisait des préparations aux feuilles d'hortensia.
Il parait que ça permet au corps de se décomposer moins vite. Du moins c'est qu'elle avait lu dans un de ses mangas. Elle m'aida dans ma rééducation afin de pouvoir marcher, bouger et parler normalement.
Ce fut vraiment de beaux moments passés en sa compagnie mais plus le temps passait et plus elle semblait épuisée et malade.
Elle passait beaucoup trop de temps à s'occuper de mon état et elle passait tout le reste à étudier pour ses cours et à travailler pour gagner de l'argent pour pouvoir payer ses études et joindre les deux bouts.
Je ne pouvais pas la laisser se détruire comme ça. alors je me mis à chercher un travail et je tomba sur une annonce pour le poste de professeur de physique/chimie dans un pensionnat un peu particulier qui acceptait toute sorte de créature.
Ma candidature fut acceptée et un beau matin je déposa un mot sur son oreiller lui disant que j'avais trouvé un travail et que je lui enverrais tout les mois les deux-tiers de mon salaire pour qu'elle ne soit plus obligée de travailler au restaurant. Je lui promis de revenir aussi dés qu'elle aurait finit ses études.

Toi, derrière ton écran

Ton prénom: Mathilde
ce que tu aimes: Les sushis
ce que tu n'aimes pas: Les légumes

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