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 Sourire mais pas à n'importe qui. [PV:Ariana Valdimire]

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Karin Izumi

Karin Izumi


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MessageSujet: Sourire mais pas à n'importe qui. [PV:Ariana Valdimire]   Sourire mais pas à n'importe qui. [PV:Ariana Valdimire] EmptyVen 27 Déc - 17:12





« Qui ose me déranger ?  »


12h14.

Mon ventre grogne. Je n'aurais peut-être pas du dévorer mon déjeuner en plein milieu du cours , surtout qu'avec le peu d'argent que j'ai, je dois faire attention. Ah malheur à moi d'être une gloutonne comme ça, pourquoi je dois toujours grignoter avant l'heure. Damnation et sirop d'érable...Sirop ?! Ah nan j'dois oublier ça. Je dois attendre ce soir afin de trouver un peu de nourriture. Enfin quand je dis un peu...

J'étais sortis de la classe avec la tête dégoûté. Les autres élèves sont souvent ensemble mains dans la main ou côtes-à-côtés avec des "On mange ensemble ?" de tout les coins. Moi je viens de me réfugier ici, dans une salle condamnée. Là où personne ne passe, là où personne ne vient. Je suis bien ici, c'est si calme pour faire une sieste. Tranquille. La salle est plutôt sale, mais surtout très poussièreuse, mais moins depuis que je viens quand les autres prennent leurs paniers-repas. Là au moins, personne ne m'agace. L'air est renfermé, il fait souvent chaud même en hiver. Je me souviens la première fois que j'ai découvert cette salle, la porte était criblée de clous pour faire tenir les planches dessus, tellement j'étais énervé de ne pas pouvoir rentrer j'ai piquer un outils d'un jardinier...Je l'ai toujours d'ailleurs. Petite fripponne que je suis. C'est si amusant, pas pour la personne bien sûr, mais mon instinct me dit que ça va.

J'entends le vent qui frappe contre la fenêtre toujours couverte de planche. La météo a-t-elle annoncé une rafale ? Je m'assois sur un vieux bureau en piteux état, tout ici était sale. J'éternue une fois, puis deux fois. La poussière me monte au nez décidément. Le bureau grince. Zut, j'espère juste qu'il ne se cassera pas sous mon poids. Je regarde le plafond, il est plutôt haut, il n'y a plus de lampe, juste d'énormes trous un peu de partout. On devine facilement comment les lampes étaient disposés. Mon ventre grogne encore, je frappe dessus.

-TAIS-TOI JE SAIS QUE TU AS FAIM ESPECE DE...de ventre..?

Fufufu... Que tu es idiote Karin. Parler toute seule n'est pas très sain tu ne trouves pas. Oui ? Alors pourquoi tu continue ? Je me tape la tête. Non, je ne suis pas folle, peut-être que parler à moi-même ne fait que combler le vide autour de moi, combler le vide qu'est ma vie, comme cette pièce. Vide, tout est vide comme une coquille sans bête à l'intérieur. Peut-être devrais-je changer mon caractère ? Impossible. Après tout je n'ai pas besoin d'avoir des amis, aucune lois ne s'y oppose. Je soupire. Décidément cette pièce me rend bien pathétique, à moins que je le sois tout le temps mais que je ne m'en rends jamais compte. Comme cette pièce me rend pathétique, c'est si drôle en même temps. Le bureau grince. Je soupire. Je dois avouer que je m'ennuis et à vrai dire, j'ai oublié ce que je voulais faire ici à l'abri des regards et des personnes. Si tranquille, à peine un bruit et tu l'entends tellement il n'y a aucun rat.
«Tic Tac »

Je me retourne avec l'air menacé. Je regarde, une horloge. Bécasse féline va. Tu avais peur d'une horloge Karin ? T'es encore plus bête que je ne le pensais. Je ne sais pas pourquoi je me sentais en danger, je viens même de remarquer que je tenais mon couteau très fort, je le range. Je n'avais pas remarqué l'horloge la première fois, peut-être que j'étais trop occupé à dormir. Ah oui, dormir, c'est ça que je voulais faire. Mon cœur a repris son cours normal. Je me dirige machinalement vers le fond de la classe avec une petite couverture que j'avais laissé là les jours précédents, j'ai tout prévu je vous dis. J'aime bien cet endroit. Mais mon endroit favoris restera l'arbre dans la cours, là où tout les élèves restent en dehors des cours, il est un peu plus enfoncé dans le bois mais il est haut et calme, c'est là que je peux faire des bêtises pour que tout le monde regarde en l'air et ce demande d'où vient ce bordel. C'est là qu'est mon palais, et jamais je ne le céderais. Foi de Karin Izumi ! Poing levé, regard fier. J'ai eu l'impression de mettre lancer un pari. Je fais un tas avec ma couverture et saute dessus pour m'allonger comme une otarie. Nyaaah, ce serait le paradis si ça serait plus jolie et plus propre. Ma conscience me quitte peu à peu et une image, un peu flou, rentre dans ma tête ensomeillé.

« L'air est totalement glacé. J'ai l'impression de m'enfoncer dans la neige. Pourquoi avoir tellement froid comme ça. Je suis debout dans un couloir. Un couloir. Mais que fait ce couloir ici ? Je ne suis plus dans la vieille classe ? Ma conscience me frappe comme un marteau. Je vois...Je vois 2 portes. J'ai l'impression d'être dans un château... Où suis-je ? Ce couloir avec ce mur froid et gris en pierre me rappelle des souvenirs, mais je ne peux dire lesquels. Je n'arrive pas à savoir réfléchir maintenant. Alors je ne réfléchis pas. Mon corps me guide et je ne fais que regarder le paysage. L'esprit et la raison ne me répondent plus. J'appartiens totalement à mon âme, je suis sienne. Je suis tout près des deux immenses portes. Elles sont en bois toutes les deux, voir carrément identiques mis-à-part que l'une et à gauche et l'autre à droite... Le couloir où je me trouve n'a pas de sortie, juste ses deux portes. Mes pieds me portent à la porte de droite. Mes doigts s'aggripent sur la poignet mais elle ne s'ouvre pas. Je force. Bloqué. Je me rabats sur la porte de gauche. A peine je sents le contact de la paume de ma main avec la poignet d'acier qu'elle s'ouvre, tout doucement. Je sens une force. Je l'imagine noire, une force noire. Mon imagination se réveille que pour imaginer des choses bien originales. La chambre est plongée dans le noir. J'arrive un peu à distinguer des ombres et des objets. Je suis complétement à l'intérieur de la pièce, au milieu, vers la porte, j'en sais rien. La fenêtre est ouverte mais des volets cache la vue de l'extérieur. Je me dirige vers cette fenêtre pour essayer de me repérer où je me trouve, un courant d'air me surprit. /CLAC/. La porte se renferme en claquant. Je n'ai même pas réussis à fermer ses volets. Je fixe de nouveau un peu où est la fenêtre et je cours vers elle, elle se claque elle aussi et se verrouille. Enfermé...Seule...Ma vie...Quoi...Vie...Vie...Vie, mort...Des mots, à peines des phrases dans ma tête hurlaient, hurlaient comme si ils allaient me tuer. Mes genous se fracassent contre le sol comme si la gravité m'enveloppe. J'ai mal, mais je n'émets aucun son. Mes bras se lèvent et mes mains essayent de bloquer les paroles dans ma tête à mes oreilles. Je hurle mais je ne m'entends pas. D'un coup, le calme. Je n'entends que le doux son du silence. Je relève ma tête, je ne bouge plus. Et...Un visage complétement noir se dresse devant moi «Debout...Qui es-tu ? » sa voix est celle d'une jeune fille, une voix douce et apaisante. « Héhooo... » L'ombre se dandine comme un serpent charmé...Il se s'allonge de plus en plus et son visage qui ne l'est pas fonce vers mo... »

/BAM/. Je me retrouve en face d'une jeune fille. Elle est plutôt belle et m'a l'air d'être une personne sereine d'esprit. Mais comme mon esprit était encore flou j'hurlais.

-KYAH...Qui êtes-vous ?!

Je regarde la pièce, je suis dans la salle condamné. Tout est encore en place. Juste un mauvais rêve..Rien de grave...J'halète, je transpire mais c'est rien, ce n'est pas le seul rêve que j'ai fais de ma vie. Je scrutte la demoiselle de nouveau et la regarde de haut en attendant toujours sa réponse.




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Ariana Valdimire

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MessageSujet: Re: Sourire mais pas à n'importe qui. [PV:Ariana Valdimire]   Sourire mais pas à n'importe qui. [PV:Ariana Valdimire] EmptyDim 29 Déc - 16:57

Ce matin, la chambre calme et silencieuse parut bien triste à Ariana. Tout était si vide... Le pensionnat n'avait jamais paru si vide à la jeune étudiante. La belle se leva du grand lit blanc et s'étira en baillant. Elle était simplement vêtu d'une chemise de nuit blanche et ses cheveux étaient mal coiffés, tombant sur sa fine taille. L'elfe se leva et posa les pieds sur le sol tiède grâce aux premiers rayons de soleil du matin. Mh... La fin tenailla la jeune femme qui grogna en découvrant l'heure. Il était bien trop tôt pour son petit-dèj. Bas, elle n'avait qu'à faire un petit tour dans le jardin puis elle reviendrais prendre un morceau. Ce matin, Ariana commençait à  heure et il était à peine 8 heure, elle avait tout son temps. La jeune fille aux oreilles pointues se dirigea vers la salle de bain ou elle brossa ses longs cheveux bleus.  Elle se maquilla très légèrement et s'habilla d'une simple robe blanche, collant transparent et ballerine jaune pâle. Une fleur rouge sang vient se loger dans ses cheveux et la belle sourit devant son reflet. Beaucoup disait qu'elle était belle, et l'orpheline ne pouvait que se trouver laide. Et pourtant, elle était le portrait craché de sa mère, qui était très belle. Sortant de ses pensée, Ariana ouvrit la fenêtre à guillotine pour laisser le vent frai caresser sa peau pâle. L'étudiante huma l'air, un sourire pâle et calme sur son visage fin. Enfin, après quelques minutes, elle descendit prendre un bon bol d'air. Le calme du parc et de la nature la calme, et la jeune prit tout son temps. Marchant silencieusement, elle sortit de son sac-à-main noir un croquis et un crayon de bois. L'elfe s'assit sur un banc en pierre et dessina maintes plantes et arbres, profitant du temps qui passait. Elle fit le tour du grand parc, étudiant toutes les plantes. Ariana était passionnée par la médecine. Elle en ramassa quelques unes, ce disant qu'avec, elle pourrait soigner des maux-de-tête en préparant une tisane. En bref, la jeune fille rentra se mettre au chaud et se dirigea vers le réfectoire ou elle prit en rapide petit-déjeuner en compagnie de l'un de ses ami humain, un garçon très sympa et avec une jolie vampire, aussi amie avec la belle. Ceci fait, l'étudiante remonta en haut pour écouter de la musique. La cinquième symphonie de Beethoven retentit dans les oreilles de la jeune femme. Elle était une grande fan de ce musicien. Son portable en poche, Ariana se laissa guider par ses propres pas, ne sachant ou elle allait. Elle ferma les yeux un cours instant pour encore plus profiter de la musique, mais tout à coup, elle faucha quelque chose de dur. Sortant de sa rêverie, l'orpheline poussa un cri de surprise. Elle porta sa main blanche à son nez pointu, se rendant compte qu'il saignait. La jeune elfe se retrouva devant une jolie demoiselle. Un hybride, si elle ne se trompait pas. Entre les gouttes de sang, la pauvre étudiante grommela un "Désolée". Elle sortit un mouchoir et s'épongea le nez, ne laissant plus aucunes traces. Mais l'autre demoiselle avait été beaucoup plus surprise qu'elle.
-KYAH...Qui êtes-vous ?!

Amusée, un léger sourire sur les lèvres, la belle répondit:
-Doucement... Je suis Ariana Valdimire, une elfe. Qui es-tu?
La salle condamné... Un endroit interdit, dans les souvenirs de la jeune.
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Karin Izumi

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MessageSujet: Re: Sourire mais pas à n'importe qui. [PV:Ariana Valdimire]   Sourire mais pas à n'importe qui. [PV:Ariana Valdimire] EmptyVen 3 Jan - 17:10





« Un réveil brusque  »



Une magnifique jeune fille. Vraiment, cette demoiselle qui est devant moi est une beauté calme. Même après ma frayeur, elle garde toujours sa tranquilité et son sourire. Je ne lui rends pas son sourire, je me méfie un peu à vrai dire, toutes les plus belles plantes peuvent avoir des épines. Oui, cette métaphore est très utilisés mais elle est plutôt réaliste. Mon regard se dirige vers la porte, pourquoi elle est rentrée ici ? Aurais-je fais trop de bruit pendant mon mauvais rêve ? La jeune fille me répond quand je la regarde de nouveau.

-Doucement... Je suis Ariana Valdimire, une elfe. Qui es-tu?

Elle a une voix aussi douce que son visage. Est-ce un pouvoir des elfes ou est-ce juste sa beauté qui fait qu'elle est intimidante. Néamoins je compte bien lui répondre, je ne veux pas lui montrer qu'elle me rend mal-à-l'aise et que je ne suis pas comme d'habitude. Peu de gens me rendent comme ça.

-Mmh, Karin est mon prénom, mon nom est Izumi. Je suis une hybride. Je pourrais savoir pourquoi tu te trouve ici ?

Je change vite de conversation oui, mais cette question me trotte dans la tête. Ca m'énerve, je veux savoir, mais je ne sais pas pourquoi, peut-être de peur que des gens sache que je fais des cauchemars et qu'on se moque de moi après avoir appris ça. Je vais sûrement le regretter et beaucoup de personnes vont me rabaisser si jamais cela se sache. Je fixe l'elfe en essayant de retrouver confiance en moi. Je fronce mes sourcils. J'ai un air d'inquiètude sur mon visage, du moins j'ai l'impression, je ne sais pas quel sentiment se ressent sur ma face.

-Est-ce que tu m'as...Entendu ?

Ah, j'avais peur de sa réponse. Elle n'aurait pas pu venir dans un endroit comme ça sans raison. Il n'y a que moi qui pense comme ça. Des cris rententissent dehors, je l'entends à travers les fenêtres condamnées. Ce ne sont pas des cris de terreur heureusement, des cris de joies et d'amusements. Cette Ariana n'est pas avec les autres élèves. Une solitaire ? Etonnant, je croyais que les elfes sont toujours en groupes. Je me suis trompé. C'est la première fois que je vois une elfe en tout cas... Ou du moins la première fois qu'une elfe se présente à moi. Oui bon, parce que je peux être entouré d'elfes sans le savoir, voilà quoi. En tout cas, elle ne parle pas beaucoup. Elle semble réfléchir à sa réponse. Ca fait genre... cinq minutes ? C'est long. On dirait que le temps passe lentement, lentement. Les secondes ressemblent à des minutes, alors que ça fait même pas une minute que je me suis présenter à Ariana Vladimire, l'elfe.

L'air m'étouffe petit-à-petit, elle est mélangé à de la craie, de la poussière et une odeur de renfermé est toujours présente. C'est souvent comme ça. Ca ne fait qu'une ou deux semaines que j'ai découvert cet endroit en fait. Je m'ennuie, le temps semble long. J'ai envie de partir et de dévorer des sucreries jusqu'à grossir et devenir laide, remarque étrange venant d'une fille. Non, des bonbons et du jambons ! Oh non, j'ai envie de viande grillé maintenant. Mon ventre grogne encore. J'ai faim, comme tout à l'heure. J'ai dormis combien de temps ? La jeune elfe doit se demander ce qui se passe dans ma tête. Je fais plein de mouvement de tête autour de moi en espèrant qu'un plateau repas apparaisse devant moi ou dans le coin de la pièce. Hélas, je ne sais pas faire apparaître des choses rien qu'en claquant des doigts. Je ne possède pas cette faculté, mais elle m'aurait beaucoup servit. Le seul tour de passe passe que je peux faire serait de voler des choses en toute discrétion, de courir vite, de savoir monter aux arbres sans difficulté, la belle vie. C'est tranquille la vie d'un chat. C'est cool même. Un peu paresseux sur les bords par contre. Je souris en pensant à un chat endormis en train de ronronner de plaisir, quand l'elfe...Enfin, Ariana me répond. Combien de temps mon monologue intérieur a duré ?


C O D A G E  P A R  @G A K I.  S U R  E P IC O D E
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