Arwen soupira en regardant une fois de plus son collier, elle avait beau y réfléchir dans tout les sens, dans toutes les situations possibles, dans chaque réponses, c'était toujours la même chose : elle n'était pas voulue... Elle avait était abandonner par ces parents... Alors pourquoi s'accrochait-elle ainsi à ce minable collier bleu ? Très bonne question, et elle même ne le savait pas... Elle avait essayer maintes fois de le jeter pour devenir un être à part entière qui n'aurait d'attaches que son corps semi-humain...
Enfin... Elle avait passer la journée dehors, vagabondant dehors dans un total esprit de liberté, ou presque... On avait proposer de lui acheter son collier ! SON collier ! Sur le cou de quelqu'un d'autre ! Même pas en rêve ! Plutôt crever à cause d'un pièce à souris version géant... Ce qui serait étrange à voir... Et il faudrait vraiment être plus stupide d'une larve pour se faire avoir... Et cela doit faire affreusement mal d'ailleurs, vous imaginer ? Un grand truc de fer qui vous tombe dessus à une vitesse impressionnante dans un grand "Clac !" ? Elle frissonna en pensant à ça, et lâcha son collier qui retomba à sa place dans son cou et se mît à compter avec patience les souris qui vivaient dans son panier...
... Oui au beau milieu du couloir, comme si elle était dehors ou bien dans sa chambre... Enfin, après 5 comptes fait de manière très pointilleuse, elle inspira longuement... Ouf, il y en avait toujours 8 ! 7 en bonnes santé et une avec une sorte de petit bandage à l'une de ses pattes... Elle les caressa doucement en faisant l'un de ses rares sourires. Les mauvaises langues avaient tendance à dire que c'était à cause de ses oreilles et de sa queue de souris qu'elle les aimaient... Pff...! Bandes de pies stupides... Quand elle était encore au cirque et n'était plus une totale sauvage, elle avait pris soin alors de toutes les petites bêtes du zoo sauf les chats... Les chats, elle ne pouvait pas ! Ils avaient essayer de l'attaquer une fois... Bref, elle s'occuper donc des animaux doucement, comme pour évacuer une surdose d'amour qui rester bloquer dans sa poitrine avec les humains, comme si l'amour qu'elle aurait due avoir pour sa mère et son père véritables qui étaient absents, devait passer dans le cœur de ses douces peluches vivantes...
Toutes à ses pensées, les mains occupées par une belle sourie blanche et marrons, elle n'entendit pas les pas qui s'approchaient de l'endroit ou elle était poster, toutes seule, assise au sol comme une misérable... Rien en changer de d'habitude sauf... Sauf son petit sourire fin, délicat et presque tendre qui animées ses lèvres toujours tendues en une moue hautaine d'habitude.